La mode du passé: Chatelaine

Aujourd’hui, nos coffres sont plein de bagues et de bracelets , nos armoirs débordent de sacs et de portefeulles. On pourrait penser que nous avons tout, mais non. Dans la garde-robe des dames de 18ème siècle y avait un accessoire, dont les femmes d’aujourd’hui n’ont jamais rêvé . C’est le crochet decoratif de ceinture, appelé […]

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Tendances Bijoux

Weekly Diamond Market Report 20/03/16

Vue d’ensemble du marché du diamant Les négociants ont évoqué des échanges globalement satisfaisants sur le marché du taillé au cours de la semaine du 14 mars.

Source: www.rubel-menasche.com

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Le blog My Lovely Bijoux

Redline vous présente Art Paris Art Fair au Grand Palais

 

art paris

Art Paris

« Art Paris Art Fair, le rendez-vous incontournable pour l’art moderne et contemporain au printemps à Paris, s’apprête à ouvrir ses portes au Grand Palais du 31 mars au 3 avril 2016.

Ouverte à toutes les formes d’expression, Art Paris Art Fair accorde une place particulière à l’art numérique. Tous les soirs de 19h à minuit, la façade du Grand Palais accueille six projections monumentales et se métamorphose au gré de l’imaginaire des artistes venus d’Azerbaïdjan, de Corée, de France et de Suisse.

Dans le cadre de la Corée à l’honneur, la sélection 2016 met en avant les créations de trois artistes coréens. Snake de Kim Joon, une animation 3D qui met en scène des corps tatoués de motifs reptiliens évoquant le désir animal enfoui chez l’être humain. Contemplations de Moon-Pil Shim accompagnée d’une musique de Young-Dong Kim, prolonge en image les recherches picturales colorées abstraites de l’artiste. Hypnagogia, réalisée par les artistes Col.l.age + (Sho Jang & Min Kim), sur une musique de Jiin Ko, est une parabole onirique inspirée du Rêve du papillon de Tchouang-tseu.

Par ailleurs, le collectif suisse ENCOR studio fait vibrer avec Duel la façade Beaux Arts du Grand Palais tandis que le collectif azéri Hypnotica privilégie une approche organique de l’architecture avec The Breath . Enfin, avec Façade Life, le français Antoine Schmitt inonde la façade du Grand Palais d’une pluie de pixels générée par algorithmes. »

Redline

Aigue Marine de Mars

Bague Alessio Boschi ©BérengèreTreussard

Bague Alessio Boschi ©BérengèreTreussard

L’aigue-marine tient son nom du latin aqua marina, faisant référence à la couleur de la mer. Ce mot introduit en 1609 traduit une expression datant du XVIème siècle, époque des premières découvertes faites au Brésil.

De la famille du béryl dont dépend également l’émeraude, l’aigue-marine est bleu clair à bleu foncé et parfois bleu vert, sa couleur est due au fer.

Grâce à la chauffe, les pierres pâles peuvent prendre une couleur plus soutenue, beaucoup plus appréciée. Néanmoins, soyez vigilant lors de la réparation d’un bijou car une température excessive peut au contraire éclaircir la pierre.

C’est une gemme fragile et sensible aux chocs, sa dureté est de 7.5 à 8 sur l’échelle de Mohs qui va jusqu’à 10 si vous avez bien suivi ! Elle est souvent utilisée en joaillerie, et traditionnellement taillée à degrés comme le démontre les créations poétiques du talenteux Alessio Boschi avec la même bague mais vue de côté qui l’utilise pour représenter les fontaines romaines dans sa nouvelle collection présentée à Baselworld cette année.

Bague Alessio Boschi ©BérengèreTreussard

Bague Alessio Boschi ©BérengèreTreussard

En décembre 2012, la plus grosse aigue-marine taillée a fait son entrée dans la collection permanente du Musée d’Histoire Naturelle de Washington à côté du Hope. La gemme baptisée Dom Pedro en hommage aux deux empereurs Pierre I et Pierre II du Brésil pèse 10 363ct et fut taillée en forme d’obélisque par le célèbre bijoutier allemand Bernd Munsteiner.

Aigue marine Dom pedro ©Reuters

Aigue marine Dom pedro ©Reuters

D’autres spécimens remarquables l’ont précédée comme le cristal de qualité gemme découvert en 1910 à Marambaya au Brésil pesant 110.5kg, mesurant 48.5cm de longueur et 41 cm de diamètre dans lequel fut taillé plus de 100 000ct de pierres. Des cristaux de plusieurs tonnes ont été mis à jour mais malheureusement opaques et de couleur grise donc ne pouvant être considérés comme gemme et utilisés en joaillerie.

Utilisé comme talisman par les marins, cette pierre est également le symbole de la fidélité entre jeunes mariés, c’est un cadeau censé leur garantir un mariage heureux.

Bague aigue marine gravée Alessio Boschi ©BérengèreTreussard

Bague aigue marine gravée Alessio Boschi ©BérengèreTreussard

Sarah B – Association Française de Gemmologie

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Une fille un bijou : Géraldine

  Quand j’ai eu l’idée de la chronique « Une fille un bijou », je savais que ce serait une mine non pas de pierres précieuses (quoi que … ) mais une mine d’histoires. Je vous l’ai assez dit, le bijou est un truc intime, qui nous lie à ce qu’on aime profondément, à ce qu’on veut […]

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Les Precieuses pour des histoires de bijoux et de créateurs

« Bejewelled Treasures » : collection Al-Thani

Bejewelled_Treasures_Banner_new-datesCe n’est pas indemne que l’on ressort de la très attendue exposition intitulée « Bejewelled treasures » sur la collection Al Thani au Victoria & Albert Museum de Londres mais plutôt les yeux émerveillés avec l’émotion d’avoir pu voir quelque chose d’assez exceptionnel. Une collection privée explorant les grands thèmes de la tradition à la modernité dans les bijoux indiens.

L’exposition présente une centaine d’objets et des joyaux de la collection du Sheikh Hamad bin Abdullah Al-Thani. Les bijoux sont organisés autour de six univers différents : le trésor, la cour, kunden & émail, période de transition, modernité, maîtres contemporains avec une pièce spectaculaire pour introduire le visiteur dans ces différentes parties.

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Ornement de turban réalisé pour le Maharaja de Nawanagar en 1907 et modifié en 1935 The Al Thani Collection © Servette Overseas Limited, 2014. Photograph: Prudence Cuming Associates Ltd

C’est donc tout naturellement que l’exposition vous accueille avec un ornement de turban datant de 1935. Pièce fabuleuse scintillante de milles feux grâce aux 17 diamants totalisant 152.64ct et d’une pureté inouïe. Cet ornement illustre l’influence de l’Europe sur l’Inde par le simple détail de la monture qui se trouve être en platine et non en or  comme traditionnellement utilisé en Inde.

Arcot II diamant de 1760 modifié en 1959 et 2011 The Al Thani Collection © Servette Overseas Limited, 2014. Photograph: Prudence Cuming Associates Ltd

Arcot II diamant de 1760 modifié en 1959 et 2011 The Al Thani Collection © Servette Overseas Limited, 2014. Photograph: Prudence Cuming Associates Ltd

Dans cette première partie sont présentées des gemmes remarquables : saphir, spinelles, émeraudes et diamants parmi lesquelles «l’Arcot II ». Cette pierre provient de la mine historique de Golconde contrôlée à l’époque par le Nawab d’Arcot qui lui donna son nom. En 1767, le diamant fut envoyé avec un autre à Londres en guise de cadeau à la Reine Charlotte. Pour répondre au mieux aux goûts occidentaux, le diamant fut retaillé pour plus de symétrie et son poids passa de 23.65ct à 17.21ct. A noter, dans cette salle un diamant octogonal plat simplement poli de 30.22ct, cette forme révèle toute la pureté de la pierre.

Les perles sont tout aussi fascinantes que les gemmes – parfois plus de 15 mm de diamètre – à cette époque elles étaient entièrement naturelles et provenaient du Golf Arabique.

Bejewelled_Treasures_Installation_View_c_Victoria_and_Albert_Museum_London_3 ©Victoria and Albert Museum, London

The Al Thani Collection ©Victoria and Albert Museum, London

Dans l’univers de la cour une coupe en jade aux lignes très épurées et aux dimensions modestes est d’une importance historique notable. Il est le plus ancien objet ayant appartenu à un Empereur Moghol (1607-1608). Présenté à proximité de l’oiseau du trône du Sultan de Tipu entièrement serti de diamants, rubis, émeraudes, saphirs, grenats, perles, corail, topaze, et pierre de lune selon la technique de l’arrangement navaratna.

Au XVIème siècle, les portugais importent la technique de l’émail en Inde. Le dos de cet ornement de turban en est un très bel exemple avec les motifs de fleurs et d’oiseaux aux couleurs si typiques de Jaipur.

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The Al Thani Collection ©Victoria and Albert Museum, London

La dernière partie de l’exposition présente quelques créations de JAR et de Bhagat. Ce dernier magnifie les pierres en utilisant des techniques de sertissage très discrètes à l’aide du laser et de tiges en métal.

Les trésors présentés nous font voyager au temps des Maharajas et du faste des mines de Golconde d’où proviennent les plus beaux diamants. Cette exposition met aussi en lumière la technique des artisans, car que seraient toutes ces magnifiques gemmes sans le talent et l’ingéniosité de ces hommes pour les sublimer.

L’exposition a lieu jusqu’au 10 avril 2016, il est encore temps d’aller à Londres sur un coup de tête !

Pour les amateurs de beaux livres et ceux qui ne peuvent pas faire le déplacement ou qui veulent garder un souvenir de cette merveilleuse exposition, le livre de l’exposition a été écrit par la spécialiste du Musée sur l’Asie, Suzan stronge et reprend les plus belles pièces de l’exposition.

Bejewelled Treasures - The Al- Thani Collection

Sarah B – Association Française de Gemmologie

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« Bejewelled Treasures » : collection Al-Thani

Bejewelled_Treasures_Banner_new-datesCe n’est pas indemne que l’on ressort de la très attendue exposition intitulée « Bejewelled treasures » sur la collection Al Thani au Victoria & Albert Museum de Londres mais plutôt les yeux émerveillés avec l’émotion d’avoir pu voir quelque chose d’assez exceptionnel. Une collection privée explorant les grands thèmes de la tradition à la modernité dans les bijoux indiens.

L’exposition présente une centaine d’objets et des joyaux de la collection du Sheikh Hamad bin Abdullah Al-Thani. Les bijoux sont organisés autour de six univers différents : le trésor, la cour, kunden & émail, période de transition, modernité, maîtres contemporains avec une pièce spectaculaire pour introduire le visiteur dans ces différentes parties.

Diamond_turban_jewel_made_for_the_Maharaja_of_Nawanagar_1907_remodelled_in_1935_India

Ornement de turban réalisé pour le Maharaja de Nawanagar en 1907 et modifié en 1935 The Al Thani Collection © Servette Overseas Limited, 2014. Photograph: Prudence Cuming Associates Ltd

C’est donc tout naturellement que l’exposition vous accueille avec un ornement de turban datant de 1935. Pièce fabuleuse scintillante de milles feux grâce aux 17 diamants totalisant 152.64ct et d’une pureté inouïe. Cet ornement illustre l’influence de l’Europe sur l’Inde par le simple détail de la monture qui se trouve être en platine et non en or  comme traditionnellement utilisé en Inde.

Arcot II diamant de 1760 modifié en 1959 et 2011 The Al Thani Collection © Servette Overseas Limited, 2014. Photograph: Prudence Cuming Associates Ltd

Arcot II diamant de 1760 modifié en 1959 et 2011 The Al Thani Collection © Servette Overseas Limited, 2014. Photograph: Prudence Cuming Associates Ltd

Dans cette première partie sont présentées des gemmes remarquables : saphir, spinelles, émeraudes et diamants parmi lesquelles «l’Arcot II ». Cette pierre provient de la mine historique de Golconde contrôlée à l’époque par le Nawab d’Arcot qui lui donna son nom. En 1767, le diamant fut envoyé avec un autre à Londres en guise de cadeau à la Reine Charlotte. Pour répondre au mieux aux goûts occidentaux, le diamant fut retaillé pour plus de symétrie et son poids passa de 23.65ct à 17.21ct. A noter, dans cette salle un diamant octogonal plat simplement poli de 30.22ct, cette forme révèle toute la pureté de la pierre.

Les perles sont tout aussi fascinantes que les gemmes – parfois plus de 15 mm de diamètre – à cette époque elles étaient entièrement naturelles et provenaient du Golf Arabique.

Bejewelled_Treasures_Installation_View_c_Victoria_and_Albert_Museum_London_3 ©Victoria and Albert Museum, London

The Al Thani Collection ©Victoria and Albert Museum, London

Dans l’univers de la cour une coupe en jade aux lignes très épurées et aux dimensions modestes est d’une importance historique notable. Il est le plus ancien objet ayant appartenu à un Empereur Moghol (1607-1608). Présenté à proximité de l’oiseau du trône du Sultan de Tipu entièrement serti de diamants, rubis, émeraudes, saphirs, grenats, perles, corail, topaze, et pierre de lune selon la technique de l’arrangement navaratna.

Au XVIème siècle, les portugais importent la technique de l’émail en Inde. Le dos de cet ornement de turban en est un très bel exemple avec les motifs de fleurs et d’oiseaux aux couleurs si typiques de Jaipur.

Bejewelled_Treasures_Installation_View_c_Victoria_and_Albert_Museum_London_7

The Al Thani Collection ©Victoria and Albert Museum, London

La dernière partie de l’exposition présente quelques créations de JAR et de Bhagat. Ce dernier magnifie les pierres en utilisant des techniques de sertissage très discrètes à l’aide du laser et de tiges en métal.

Les trésors présentés nous font voyager au temps des Maharajas et du faste des mines de Golconde d’où proviennent les plus beaux diamants. Cette exposition met aussi en lumière la technique des artisans, car que seraient toutes ces magnifiques gemmes sans le talent et l’ingéniosité de ces hommes pour les sublimer.

L’exposition a lieu jusqu’au 10 avril 2016, il est encore temps d’aller à Londres sur un coup de tête !

Pour les amateurs de beaux livres et ceux qui ne peuvent pas faire le déplacement ou qui veulent garder un souvenir de cette merveilleuse exposition, le livre de l’exposition a été écrit par la spécialiste du Musée sur l’Asie, Suzan stronge et reprend les plus belles pièces de l’exposition.

Bejewelled Treasures - The Al- Thani Collection

Sarah B – Association Française de Gemmologie

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Une fille un bijou : Géraldine

  Quand j’ai eu l’idée de la chronique « Une fille un bijou », je savais que ce serait une mine non pas de pierres précieuses (quoi que … ) mais une mine d’histoires. Je vous l’ai assez dit, le bijou est un truc intime, qui nous lie à ce qu’on aime profondément, à ce qu’on veut […]

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La mode du passé: Chatelaine

Aujourd’hui, nos coffres sont plein de bagues et de bracelets , nos armoirs débordent de sacs et de portefeulles. On pourrait penser que nous avons tout, mais non. Dans la garde-robe des dames de 18ème siècle y avait un accessoire, dont les femmes d’aujourd’hui n’ont jamais rêvé . C’est le crochet decoratif de ceinture, appelé […]

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Tendances Bijoux

Redline dans le magazine La Parisienne!

redline bijoux parisienne

redline bijoux parisienne

 

Cette semaine, c’est La Parisienne qui met Redline en avant avec sa bague Si audacieuse Illusion! Cette bague singulière signée Redline ne vous laissera pas indifférent et portera chance à quiconque la portera.

Toute l’équipe Redline tient sincèrement à remercier la rédaction pour cette belle parution !!

Retrouvez notre bague si audacieuse en cliquant juste ici …

Redline